Rendez-vous à Selestat le 29 septembre de 10h à 17h pour signer et/ou faire signer la pétition
Les mines et les bombes à sous-munitions continuent de faire des victimes civiles : 1 victime toutes les 2 heures, 75 % des victimes recensées sont des civils dont plus de 40 % des enfants.
2. Dans les pays pauvres, elles sont une entrave au développement, car elles touchent aux besoins essentiels : l’accès à l’eau, l’ac- cès à l’école et l’exploitation des terres cultivables. Par exemple au Cambodge, près de 20 ans après les conflits, des milliers d’hectares de terre sont toujours pollués par les mines et les sous-munitions. On constate que la majorité des accidents ont eu lieu pendant la culture des champs et les activités de subsistance.
3. Des millions de personnes vivent sous leur menace. Elles vivent encore la guerre après la guerre. Il faut stopper cette injustice !
4. Notre pays doit montrer l’exemple. La France a rejoint les traités d’interdiction de ces armes – qui sont la solution. Mais elle doit veiller à leur application ; notamment en consacrant un budget à l’action contre les mines et BASM à hauteur des autres grands pays euro- péens. La France a donné moins d’un million d’euros en 2011 alors que les autres grands pays européens consacrent entre 10 et 20 millions d’euros.
Nous avons déjà recueilli 2 millions de signatures contre les mines et les BASM. Mais tant que tous les pays n’ont pas signé et appliqué ces traités, il faut rester mobilisés pour que la vie de toutes les victimes changent sur le terrain !