Etaient présents :
Alexandre Guth, Caroline Guyader, Valérie Geoffroy, Viviane Neveux-Ouy, Geoffroy Origas, Agathe Jacob, Sabine Badermann, Anne L’Hospital.
On commence par se poser la question de se qu’on trouve le plus pertinent à mettre en place (panneau de co-voiturage, point stop, mélange des deux ?) et à quelle échelle.
Pour tenter de concrétiser, Alexandre propose de trouver des exemples entre Villé et Thanvillé.
Nous cherchons donc des potentiels points stop. Ça sera des endroits où s’arrêter ponctuellement pour prendre un auto-stoppeur mais pas pour stationner. Pour cela il y a les parkings de co-voiturage.
Villé : devant l’abri bus, devant le parking de la poste, et devant Sengler.
Thanvillé : devant le petit bâtiment tagué après le rond point.
On se dit que pour le retour c’est plus simple et qu’il n’y a pas besoin de points précis.
Alexandre propose de ne pas tout de suite faire dans tous les villages mais de tester quelques lieux témoins afin de voir le fonctionnement et de faire naître l’envie dans d’autres villages. Le but étant que le mouvement s’enrichisse de lui-même et s’agrandisse naturellement.
Pour présenter le sujet à la cdc et/ou au public on pourra parler de l’importance du trafic à certaines heures, du problème de l’empreinte carbone par habitant lorsqu’on est seul dans la voiture comparativement à si elle est pleine. De l’envie de créer du lien et de partager.
Dans sa dimension développement durable, ce projet a l’intérêt de recouvrir à la fois un aspect environnemental (moins de voitures en circulation), économique (moyen de déplacement « gratuit ») et social (création de lien).
Viviane propose de projeter le film « En Transition » à la cdc pour ouvrir la discussion sur une base positive et concrète.
Tout le monde n’est pas d’accord pour ne mettre des panneaux qu’à certains endroits ou pour en mettre tout court..
Après discussion, la décision est prise par consentement collectif de commencer sans panneaux avec seulement les macarons de reconnaissance et l’adhésion à la charte.
Ca permettrait de créer le mouvement et de voir quelles sont les zones qui brassent le plus et éventuellement de proposer des panneaux par la suite. On partirait donc de la même manière que le Transistop de Munster. C’est-à-dire avec une adhésion à la charte (qu’on va écrire), et la remise d’un macaron de reconaissance. On est d’accord pour reprendre la même typographie qu’eux afin d’harmoniser la visibilité pour le public.
Nous passons aux questions concrètes :
Comment s’inscrire et où s’inscrire ?
Commerces de proximité, mairies, OT, site d’EchoVal. On pourra télécharger la charte et le bulletin d’inscription sur le site d’echoval mais on reste d’accord sur le fait qu’il faille déposer le bulletin dans un des points de référence afin de se voir remettre le macaron double face (d’un coté le pouce, de l’autre la voiture).
Qui gère ?
Il faut un référent (d’EchoVal) par village qui conservera les inscriptions pour statistiques.
La question est posée de savoir si les inscrits doivent être rentrés dans une base de donnée visible sur le site.
On se dit qu’il n’est pas nécessaire ni souhaité que ça soit publié.
Le rôle du référent est de :
- démarcher les lieux susceptibles d’accueillir les plaquettes explicatives et les inscriptions.
- récupérer les inscriptions, les conserver et les classer par mois/année à des fins statistiques.
Si vous êtes intéressés pour être référent dans votre village, envoyez un message à Agathe.
Il faut demander à Fabienne où ils ont fait imprimer les macarons et les plaquettes.
Impression à demander aux mairies et à la cdc ?
Agathe cherchera les référents et contacte Fabienne.
Geoffroy s’occupe de faire la plaquette.
Alexandre s’occupe de contacter la cdc.
Référents par village :
- Breitenau : Alex
- Neuve-Eglise : Sabine, Caroline et Anne
- Breitenbach Valérie Viviane
Reste à trouver pour les autres villages.
Prochaine réunion le lundi 12 mai chez Caroline Guyader ( 23 rue de Dieffenbach à Neuve-Eglise) à 20h.
Veuillez lui confirmer votre présence : guyaderloic@wanadoo.fr